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Quelques extraits de l’ouvrage
[… ] « Cet ouvrage nous offre quelques témoignages
exceptionnels : ceux des pionniers qui ont fondé cette
école, mais aussi ceux des enseignants et des
élèves qui reprennent année après
année le flambeau et font vivre cette grande aventure. Je forme
le vœu qu’ils soient encore très nombreux à
leur succéder, afin que la France conserve encore longtemps son
statut de puissance nucléaire, carte maîtresse qui lui
garantit son indépendance énergétique et son
autonomie stratégique et lui permet de faire entendre sa voix
dans le monde. »
b) […]
« Le parti pris fut de ne réaliser, ni un ouvrage
scientifique, ni un livre d’histoire, mais de laisser à un
peintre et un auteur, étrangers à l’école,
la faculté de se promener, en toute liberté, dans le
temps et l’espace pour présenter leur vision de
l’établissement. »[…]
Philippe Coëpel (auteur) et Jean-Philippe Burnel (illustrateur) c) […] l’École Atomique : «C’est un établissement où l’on apprend la rigueur : on y acquiert une bonne formation».
[…Cherbourg : ] «J’ai découvert la ville pour la première fois en 1954, lors du lancement du «Narval.[…]J’habitais alors dans des baraques, annexes du Cercle Naval, situées à l’emplacement de l’actuelle piscine. Je suis revenu à Cherbourg pour l’armement du «Redoutable» et je logeais dans les tours Chantereyne[…].
Amiral Bernard Louzeau, premier commandant du premier sous-marin
nucléaire français, ancien chef d’état-major
de la marine. e) «Ici,
l’école est faite pour les élèves, alors que
généralement ce n’est pas nécessairement le
cas», constate la jeune femme qui ajoute, «La
présence de civils parmi les professeurs mais aussi parmi les
élèves, notamment ceux qui suivent le cours de technicien
de radioprotection, est une bonne chose. Ici, les professeurs sont plus
abordables et les contraintes militaires sont plus
légères. Les cours s’effectuent dans de très
bonnes conditions : nous sommes trois à suivre la formation de
TSR».
Sandrine Bordes, officier-marinier électromécanicien de
sécurité, élève à l’EAMEA, 4
ans d’embarquement sur le PAN Charles de Gaulle. f) « Le
Major Florian a ainsi alterné embarquements et nombreuses
périodes de formation. [...]. Il appartient à ce
pôle d’excellence des officiers-mariniers hautement
qualifiés.[…]. Ainsi, est-il, en 2004, affecté
à l’École Atomique comme responsable de la
formation des chimistes et du laboratoire de chimie. Juste retour des
choses qui, dans la Marine, fait de l’acquisition des
compétences une chaîne continue où recevoir est
aussi donner ».
Philippe Coëpel g) […] «
Le nucléaire militaire français est unique en Europe, par
sa qualité et sa totale indépendance. La
compétence des chercheurs et industriels français de
l’atome est mondialement reconnue. Ainsi, il est motivant et
valorisant de travailler dans un milieu aussi prestigieux».
Xavier Maldague, officier élève du cours de génie atomique à l’EAMEA. h) « Ce
livre marque une histoire désormais inscrite dans le temps
après cinquante ans d’une passion qui a été
captée à la fois par l’illustrateur et par
l’auteur ».
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Quelques illustrations de l’ouvrage
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